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design impeccable... excellente idée pour une maisons de vacances à la campagne
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Par Julie DUBOURG, le 27.08.2020
d'après mon expérience perso, le bois compressé est plus écologique que le bois de chauffage traditionnel. je
Par Anonyme, le 27.08.2020
en optant pour le granulé de qualité, on assure un rendement ! simplyfeu.com
Par Julie Dubourg, le 18.03.2020
le bois compressé se développe et se démocratise. il est très facile de faire un test en achetant l'équivalent
Par Jean Paul, le 03.05.2018
faut légaliser le cannabis en france.
n'attendons pas octobre 2018
faut que le parti les républicains
Par Cannabis Miltant, le 23.04.2018
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Date de création : 18.02.2015
Dernière mise à jour :
18.10.2018
142 articles
EN BREF – Les Français disent avoir du mal à consommer chaque jour des fruits et des légumes frais ? Des solutions solidaires existent et UP en a parlé.
Plus d’un Français sur quatre (27 %) déclare ne pas avoir assez d’argent pour manger des fruits et légumes frais au quotidien. C’est ce que révèle, en ce 11 septembre, le baromètre Ipsos-Secours populaire. Des solutions ici ou là existent pour manger sainement et pour pas trop cher. Des initiatives solidaires qui entendent lutter contre le gaspillage alimentaire, ou prôner les voies des circuits courts. UP le mag en met régulièrement à l’honneur.
Vrac, à LyonVrac, qui a reçu en début d’année le prix Coup de cœur entrepreneur des Trophées UP, veut favoriser l’accès au plus grand nombre à des produits de qualité issus de l’agriculture paysanne, biologique, équitable à des prix bas. Et ce, en développant des groupements d’achat dans les quartiers de la région lyonnaise pour « réduire les inégalités en ce qui concerne la consommation », selon Boris Tavernier, le fondateur.
O’ Potager de Ménil, à ParisC’est un magasin biologique solidaire, situé dans le quartier de Ménilmontant, à Paris. La boutique, qui propose fruits et légumes de saison en vrac, est aussi un chantier d’insertion pour des personnes éloignées de l’emploi. Des réductions sont faites à certains clients, sur critères sociaux. En savoir plus.
Eco-Charlie, à ParisL’association des Eco-Charlie, née à Paris en 2016, récupère des produits bio et redistribue plus d’une tonne de denrées alimentaires à des personnes en situation précaire (étudiants, retraités etc.), qui n’ont pas toujours les moyens de s’offrir des produits biologiques. En savoir plus.
Invendus du Secours populaire, à ParisLe Secours populaire propose, dans le Sud de Paris, des produits frais invendus (récupérés dans les centres commerciaux et l’école de gastronomie Ferrandi), et notamment des fruits et légumes. Chaque semaine, des dizaines et des dizaines de personnes cherchent des paniers très bon marché. UP était venu assister à l’inauguration du local du Secours populaire.
Les frigos solidaires, dans plusieurs villesLille, Grenoble, Nancy, Paris… Le concept se développe dans quelques villes en France. Le principe est simple : un frigo est installé par des citoyens ou encore un gérant d’une boutique pour partager gracieusement ses invendus, et les sans-abri ou des personnes précaires peuvent se servir. UP avait découvert le premier frigo parisien, qui concernait notamment des fruits et légumes. En savoir plus.
N’hésitez pas à nous parler d’autres projets, si vous en connaissez certains. Donnez-nous vos bons plans dans les commentaires.
Le parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises organise du 30 septembre au 30 juin un défi. Une trentaine de foyers devront essayer d'augmenter de 20 % leur consommation de produits biologiques et locaux.
Manger, mieux, manger sain, manger local… Le tout en maîtrisant son budget. C'est avec ce mantra en tête que le parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises se lance dans un projet qui vise à accompagner une trentaine de foyers, de groupes, pour les aider à augmenter de 20 % leur consommation en produits biologiques et locaux sans que cela n'est de répercussion négative sur leur budget.
En phase de recrutement
«Nous sommes dans une phase de recrutement, explique Céline Arilla, chargée de mission au parc naturel. Le but est de réunir plusieurs groupes, des familles, des amis qui veulent participer ensemble ou même des collègues. Il y aura différents temps forts et les consommations seront suivies à trois moments.» Dans les faits, chaque participant devra, pendant deux semaines, entrer sur un site Internet ses achats alimentaires et leurs provenances. C'est la progression entre ce premier suivi et le dernier qui «prouvera» l'évolution de la hausse de leur consommation de produits biologiques et locaux.
Le lancement officiel du défi aura lieu le 14 octobre, à La Bastide-de-Sérou, pendant la Foire bio. Les participants à cette opération seront invités à rencontrer des producteurs. Puis pendant toute l'année, différents rendez-vous et ateliers marqueront leur progression : ateliers pratiques et visite du marché et du Biocoop de Saint-Girons en novembre, atelier diététique autour de l'équilibre alimentaire et des protéines végétales en janvier, ateliers cuisine pour concilier équilibre et plaisirs gustatifs en février, visites de fermes en agriculture biologique au printemps. Puis l'aventure du «manger positif» se clôturera par un repas partagé, en juin, où les participants seront invités à faire goûter aux autres foyers les recettes qu'ils ont découvertes ou élaborées pendant le défi.
«Ne pas proposer une alimentation triste»«Le but est de trouver un bon équilibre alimentaire tout en se régalant les papilles. Cela ne signifie pas devenir vegan». Pour le président du parc naturel, André Rouch, «Cela passe peut-être par manger un peu moins de viande, mais de la bonne viande, élevée avec amour.» «Il faut rester dans la notion de plaisir, c'est important, ajoute Céline Arilla. Il ne faut pas proposer une alimentation triste.»
Des conseils seront ainsi donnés pour que les différents participants puissent se faire plaisir tout en restant dans des budgets raisonnables. «On peut consommer bio sans augmenter le coût. Il y aura ainsi des conseils très pratiques. Le but ne sera pas non plus de juger au final mais d'inciter à une progression.»
En Ariège, près de 450 exploitations cultivent des aliments biologiques. Cela représente 18 % des exploitations du département et 26 500 hectares. Le défi s'inscrit ainsi dans une volonté de soutien à cette économie grandissante.
Sortie au coeur de l'été, l'information est passée inaperçue. Pourtant, elle est importante. Des chercheurs de l'Institut national de la recherche agronomique (Inra) et de l'université de Rennes ont démontré que l'agriculture biologique est un moyen de lutte plus efficace que les techniques conventionnelles contre les maladies des cultures. Les chercheurs l'envisagent comme une voie prometteuse.
La performance de l'agriculture biologique pour lutter contre les maladies et les ravageurs reste largement inconnue", notent les auteurs de l'étude parue mi-juillet dans la revue NatureSubstainability. Aussi, ils ont cherché à mieux la cerner. Résultats : " en utilisant deux méta-analyses distinctes, nous démontrons que par rapport aux systèmes de cultures conventionnels, l'agriculture biologique favorise la lutte antiparasitaire (...) ", expliquent les chercheurs. Une découverte qui va à l'opposé de la version officielle.
Principale observation : les niveaux d'infestation par les agents pathogènes (ceux qui provoquent des maladies tels que champignons, virus...) sont inférieurs dans les cultures bio, les niveaux d'infestation par les animaux (acariens, insectes...) sont similaires et les niveaux d'infestation par les mauvaises herbessont beaucoup plus élevés dans les systèmes biologiques que dans les systèmes conventionnels.
Quand les mauvaises herbes viennent au secours des cultures
Mais les herbes indésirables viennent parfois au secours des cultures. En effet, celles-ci abritent de nombreux insectes qui s'attaquent aux ravageurs. Exemple : la culture des chayottes, une production locale importante, dans l'île de la Réunion. Les chayottes étaient attaquées par la mouche des légumes et les ravages devenaient de plus en plus importants. Les insecticides étaient eux de moins en moins efficaces malgré des doses de plus en plus élevées. Les chercheurs du Centre de recherche agronomique pour le développement (Cirad) ont mis au point avec succès une méthode de lutte biologique qui passe par l'enherbement des cultures car les prédateurs de la mouche des légumes vivent dans les mauvaises herbes. Pendant des années, les agriculteurs ont désherbé sous les plans de chayottes, suivant les conseils des techniciens agricoles.
L'étude de l'Inra-Université de Rennes prouve que l'agriculture biologique peut améliorer la lutte antiparasitaire et suggère qu'elle offre un moyen de réduire l'utilisation de pesticides synthétiques sans que les cultures soient davantage infestées. Elle conclut donc que la lutte biologique est une voie prometteuse contre les maladies et ravageurs pour remplacer les pesticides chimiques tout en maintenant la production de produits de base.
Anne-Françoise Roger
Le coffret de graines « Potager Insolite » est une excellente idée cadeau pour un jardinier curieux et amateur d'originalités, voulant sortir des sentiers battus du « potager classique » et étonner ses amis avec des récoltes surprenantes !
LIEN VERS LE SITE ALSAGARDEN
Jean-philippe, déçu par la société de consommation a souhaité proposer sa propre alternative. Pour ça, il a créé l'îlot des Combes, une micro-ferme urbaine de 2 hectares.
L'idée : utiliser la ferme comme un support de sensibilisation et d'éducation à une agriculture respectueuse et une alimentation plus équilibrée.
Aujourd'hui l'îlot des Combes comprend un jardin potager cultivé en permaculture, un verger conservatoire et des animaux. Un gîte, une cuisine professionnelle et une salle de séminaires sont en cour d'aménagement.
A terme Jean-Philippe compte accueillir enfants, familles, scolaires, associations pour promouvoir des alternatives et faciliter le changement vers un nouveau monde.
Documentaire produit par On passe à l'acte
Plus de vitamines , plus de nutriments, moins de pollution engendrée… Les bienfaits prêtésaux aliments biologiques sont nombreux. Le nombre d’exploitations agricoles biologiquesne cesse de progresser. Ainsi, à la fin de l’ année 2011, 4,5% de la surface agricole françaiseétaient occupés par des exploitations bio 1 . PasseportSanté vous aide à y voir plus clair afin de choisir vos aliments en connaissance de cause.
L’agriculture biologique , en France comme auCanada, n’a jamais recours aux produits chimiquesde synthèse 2 . Les pesticides chimiques ne devraient donc pas entrer en contact avec un fruit oulégume certifié bio. Bien que certaines contaminations soient possibles, à cause de l’eau, du vent ou de l’ utilisation antérieure de pesticides, ces cas restent rares et les contrôles sont fréquents3 pour s’assurer que l’exploitant respecte cette règlede non-utilisation de produits chimiques.
Certaines études ont ainsi porté sur la quantité de pesticides présents dans l’ urine d’ enfants consommants ou non des aliments issus de l’ agriculturebiologique. Les enfants nourris avec des fruits et légumes bio avaient moins de résidus de pesticides dans leurs urines que les autres. Une consommation de fruits et légumes bio réduirait l’exposition à certains produits chimiques qui seraient responsables du déclenchement de certains cancers ou de la maladie de Parkinson 4.
Le contact avec des pesticides pourrait également causer des maladies dégénératives ainsi que desirritations de la peau , des yeux et des poumons . Au même titre que de nombreuses vitamines, ces pesticides se retrouvent souvent dans la peau des fruits et légumes. C’est pourquoi , il est souventconseillé de les éplucher , bien que la majeure partie des vitamines et nutriments se trouvent dans la peau. Une solution serait de préférer des fruits et légumes bio qui, exempts de pesticides, auraient simplementbesoin d’être lavés.
La Semaine pour les Alternatives aux Pesticides est une opération nationale et internationale annuelle ouverte à tous visant à promouvoir les alternatives aux pesticides. Sa 10ème édition a lieu du 20 au 30 mars 2015.
Pourquoi du 20 au 30 mars? Car ce sont les 10 premiers jours du printemps, donc la période de reprise des épandages de pesticides. Le public est donc invité à mieux s’informer sur les enjeux tant sanitaires qu’environnementaux des pesticides et sur les alternatives au travers de centaines de manifestations partout en France et dans 15 autres pays.
Plus d'infos sur la semaine pour les alternatives aux pesticides
Ce Tour de France est organisé spécialement pour les 10 ans de la Semaine pour les alternatives aux pesticides. Entre le 20 et le 30 mars, dix événements spéciaux fleurissent dans toute la France (à Poitiers, Lille, Paris, Toulouse, Wittenheim, Bruxelles, Lyon, Quimper, Alassac, Beaune, Mouans-Sartoux). Générations Futures et tous ses partenaires ont en effet souhaité profiter de cet anniversaire pour faire le bilan de 10 ans d’actions et de mobilisation en faveur des alternatives aux pesticides.
Chaque jour durant, un événement du Tour de France sera organisé par l’un des partenaires de la Semaine pour les alternatives aux pesticides. Chacun de ces événements, variés dans la forme, fera écho à l’une des dates historique et symbolique de ces dix dernières années en matière de politiques publiques sur les pesticides, d’avancée juridique, de reconnaissance des victimes, d’actes militants…
Concernant les alternatives en milieu urbain, citons par exemple la journée d’animations du 22 mars autour du 0phyto dans les zones non agricoles à Wittenheim avec la Mission Eau Alsace.
http://www.semaine-sans-pesticides.fr/decouvrir-levenement/en-2015-cest-la-10eme-edition/tour-france-alternatives/
Cette technique permet de cultiver des plantes sous la plupart des lattitudes, même les plus humides.